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L’aide aux victimes est la mission première de notre structure. Elle comprend : l’accueil, l’écoute, l’information, l’orientation et l’accompagnement des victimes d’infraction.

L’accueil et l’écoute ont pour but premier d’aider les victimes à dédramatiser des situations et mieux gérer le sentiment de victimisation dans lequel elles peuvent se réfugier.

Une première information sur leurs droits permet une orientation plus adéquate à leur problématique.  Lorsqu’un dossier pénal aboutit à un procès, un accompagnement physique est proposé en complémentarité avec les avocats. 

L’aide au recouvrement est un volet important de notre activité. Au-delà de l’information diligentée auprès des victimes, le personnel de la structure est formé à la saisine des organismes compétents dans ce domaine.

La Commission d’Indemnisation des Victimes d’Infractions (CIVI)

FV 82 – AVIR est sollicitée par des victimes d’infractions, afin de constituer des dossiers de demande d’indemnisation devant la Commission d’Indemnisation des Victimes d’Infractions (CIVI). Cette procédure est souvent associée au dernier acte du parcours de la victime. Il convient de préciser que les dossiers d’indemnisation ne sont pas pris en charge par l’Association lorsque la victime est représentée par un Avocat.

Le Service d’Aide au Recouvrement des Victimes (SARVI)

Cette procédure a été mise en place afin de pallier les difficultés des victimes d’infractions pénales quant au recouvrement de leur indemnisation.

Adoptée le 19 juin 2008 et applicable aux dossiers dont l’audience a eu lieu à partir du 1er octobre 2008, cette loi permet à la victime de solliciter une aide au recouvrement des dommages et intérêts, ainsi que des frais de procédure, qui lui ont été accordés de façon définitive en réparation d’un préjudice qu’elle a subi du fait d’une infraction pénale, lorsqu’elle ne peut bénéficier d’une indemnisation par la CIVI.

En l’absence de paiement volontaire de l’auteur des dommages et intérêts dans un délai de deux mois, suivant le jour où la décision est devenue définitive, la partie civile peut ainsi saisir le Fonds de Garantie des victimes des actes de terrorisme et d’autres infractions d’une demande d’aide au recouvrement.

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